Me voici revenue, certaines d’entre-vous étaient au courant de mon départ un peu précipité chez Manon, la petite famille était quelque peu malade. Tout a l’air d’être à peu près rentré dans l’ordre, mamie est repartie, elle a retrouvé papy.
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Pendant mon absence, les cartes ont continué d'arriver. Je n’ai pas encore eu le temps de vous remercier individuellement, si je n’arrive à le faire, je vous remercie ici et vous prie de m'en excuser. Toutes ces marques d’amitié me vont droit au ❤
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J'ai oublié de vous montrer un petit cadeau envoyé par Nadette, reçu tout début janvier, un petit carnet conçu intégralement par elle pour que je note mes ouvrages brodés
accompagné d'une carte mêlant broderie et tissu.
Je ne sais pas où j'avais la tête quand je vous ai présenté les cadeaux envoyés par Béa ! Là également j'ai omis d'y mettre cet adorable savon que j'avais, dès le colis ouvert, déposé dans la salle de bains pour que toute la maisonnée puisse l'admirer et j'ai oublié au moment de la photo de le reprendre.
Il est tellement beau, que je ne veux pas l'abimer alors il va rester ainsi pendant quelques jours ? mois ?
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Lors de mon séjour, chez Manon, malgré les températures assez basses, je promenais Gaspard tous les jours. Nous avons fait une rencontre inattendue
Plusieurs jours de suite, dès qu'il nous voyait passer, il trottinait vers nous tout en couinant !&&&&&&&&&&
J'ai photographié les arbres, dont un que je prends en photo à chacun de mes séjours. J'aime beaucoup les arbres, quelle que soit la saison et j'ai trouvé que ce poème résumait bien ce que je ressentais.
L'arbre sur la fin de l'arrière-saison
Quand l'arbre, sur la fin de l'arrière-saison,
A vu les vents glacés faner sa chevelure,
Et les premiers frimas emporter sa parure,
Et tomber, peu à peu, sa riche frondaison ;
Alors, se dressant nu sur l'aride gazon,
Il nous révèle sa plus intime structure ;
Dans son secret dessin, sa forme nette et pure,
S'accuse finement sur le clair horizon.
Et la vieillesse, ainsi, nous les enfants des hommes,
Et nous dépouille, et nous montre tels que nous sommes,
Sans parure, sans art, sans vain éclat qui ment ;
Dévoilant jusqu'au fond notre forme secrète,
Elle offre, dans son plus précis linéament,
Le plan révélateur de l'intime squelette.
Jacques Villebrune (1886)
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J'ai eu peu de temps pour me consacrer à la broderie, j'ai effectué une petite avancée malgré tout.
Je vais m'arrêter ici, j'ai encore à vous raconter, mais point trop n'en faut. Chez Manon, j'ai "survolé" les mails, les notifications reçus et en rentrant j'ai constaté qu'il y en avait énormément. Je ne pense pas avoir le temps de tous les lire et de venir commenter. D'avance, je m'en excuse mais franchement il y en a trop. Je pense que je pourrai commenter à partir de lundi.
Je vous souhaite un bon week-end et vous dis
A bientôt